Volume 18, Issue 1 (Winter 2012)
Presentation
Pour ce premier numéro de l'année 2012, Lex Electronica vous offre plusieurs articles relatifs aux différents domaines de recherche du CRDP. Éclectiques, les articles sont le fruit de chercheurs aux parcours différents, l'un est le fruit d'un excellent travail réalisé ici même à la faculté de droit, un autre provient d'un doctorant qui fut en visite au CRDP au cours des mois d'été et qui a remporté le prix de la protection des données 2011 de l'agence de protection des données espagnoles. Le troisième article a été écrit par un docteur en droit international, chargé des Cours à l'Université de Lyon III - Jean Moulin et le dernier par un étudiant à la maîtrise en droit des affaires de l'Université de Montréal. Lex Electronica est heureux de promouvoir les réalisations de ceux et celles qui forment l'avenir du droit.
Le premier texte se veut un bilan de la situation canadienne suite aux Jeux olympiques de Vancouver de 2010 et porte sur le droit des marques et sur la situation de la propriété intellectuelle. (G. Ladouceur).
Le deuxième texte met en lumière la perspective européenne sur un des plus importants défis que l'Internet et le Web 2.0 présentent pour la vie privée et le droit à la protection des données. Il soulève des problématiques liées à la mémoire numérique et demande si les renseignements inscrits dans le cyberespace peuvent disparaître (P.S. Castellano).
Quant au troisième article, il soulève des questions fondamentales de droit constitutionnel et de droit international en s'attardant à la légalité et la légitimité de la déclaration unilatérale d'indépendance politique du Kosovo, qui s'est faite en février 2008. Or, malgré l'avis émis par la cour internationale de justice en 2010, le Kosovo reste sous administration internationale. Alors, qu'est donc un êtat? (I.-G. Mazi)
Finalement, le dernier texte est une exploration des modes de reproduction de documents que sont la copie et le transfert L'auteur nous entretient de l'intégrité, l'admissibilité et de leurs conséquences respectives sur l'application de la meilleure preuve, en s'attardant plus spécifiquement sur la complexité inhérente de l'admissibilité des documents produits par transfert (A. Guilmain).
Nous vous souhaitons une excellente lecture et nous vous offrons nos meilleurs voeux pour l'année 2012!
L'équipe éditoriale de Lex Electronica.
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